Troisième année de vie publique

La femme adultère

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Cet épisode de l'évangile de saint Jean(Jn 8,2-11) fait partie d'une des premières visions reçues par Maria Valtorta, le 20 mars 1944. Elle est remise ici dans son contexte chronologique, au lendemain de la dernière journée de la fête des Tabernacles de l'an 29757. La version donnée par Maria Valtorta est totalement conforme à la version évangélique. Elle éclaire de façon très crédible quelques points restés obscurs dans le texte johannique. Après avoir écrit au sol les péchés individuels des accusateurs, et les avoir fait fuir un à un, Jésus écrit leurs caractéristiques communes : « Pharisiens, Vipères, Tombeaux de pourriture, Menteurs, Traîtres, Ennemis de Dieu, Insulteurs de son Verbe »494.3. La femme adultère a-t-elle été sauvée ? Dans un commentaire, Jésus dit à Maria Valtorta qui se posait la question : « Ce n'est pas pour tous que j'ai été Sauveur. Pour tous, j'ai voulu l'être, mais je ne l'ai pas été car pas tous ont eu la volonté d'être sauvés. Et cela a été une des flèches les plus pénétrantes de mon agonie du Gethsémani »494.7. Comme j'ai déjà évoqué cet épisode758, je n'en dirai pas plus.

Notes de bas de page

757
Certains manuscrits bibliques placent cet épisode durant la dernière journée de la fête, d'autres l'attribuent à l'évangile de saint Luc... Le texte de Maria Valtorta reste conforme à la tradition biblique retenue par l'Eglise.

758
Voir l'Enigme Valtorta, tome 1, pages 270-271.

📚 Source : L'énigme Valtorta par Jean-François LavèreTome 1Tome 2